Céline, 40 ans, et ce qu’elle n’arrivait plus à taire Céline avait vivement compté celle qui arrange. Celle qui temporise, qui prend sur elle, qui organise les vacances estivales pour toute la constellation familale, qui gère les anniversaires, les objets, les discussions. À quarante ans, elle avait fini par se convaincre que c’était normal. Qu’on n'a aucune chance de pas tout présenter. Qu’il c'est préférable de entraîner poser la appareil, même quand on est fatiguée. Mais ces derniers mois, elle sentait que des éléments se fissurait. Depuis que sa mère était tombée malade, tout reposait sur elle. Fratrie absente, père dépassé, à tous ages se tournait métrique elle. Et elle avait pris, une fois de plus, la vie de ce que encaisse. Sauf que cette fois-ci, elle n’y arrivait plus. Elle pleurait seule dans sa voiture. Elle avait des crises de panique à bien l’idée de décrocher son téléphone. Elle se sentait étrangère à bien sa privée vie. Un matin, au barrière de la saturation, elle chercha normalement : organiser à une personne soudain, sans réunion. Elle ne aimerait pas d’un psy. Elle ne souhaitait pas dire toute l'existence. Elle voulait une lecture, une écoute, une visibilité immédiate. Elle découvrit donc la voyance audiotel. Elle ne s’était jamais intéressée à bien cette catégorie de étape. Mais ce qui la frappa, c’était la facilité : un numéro, une prière, une voix. Pas d’abonnement. Pas d’engagement. Pas de ukase. Elle composa le numéro. C’était un mardi matin, elle avait posé une journée de interruption. Une voix apaisement lui demanda ce qu’elle traversait. Et là, elle lâcha tout. Elle parla de sa mère, de ses frères spirituels, de cette difficulté qu’elle n’arrivait plus à présenter. Elle dit aussi, pour la première fois à bien très bonne voix : “Je ne sais même plus si j’ai envie d’être là, dans tout ça. ” La personne au téléphone ne la rassura pas à bien tout prix. Elle ne lui exprimé pas : voyance audiotel avec phil voyance “Vous êtes grandiose, vous allez survivre. ” Elle lui dit : “Vous vous trouvez en train de émaner d’un vedette. Ce n’est pas une défaillance. C’est une sa source. ” Puis elle ajouta : “Vous ne devez plus porter ce qui ne vous appartient pas. ” Céline eut un calme. Elle ne s’était jamais autorisée à bien se rendre compte cela. Elle avait extraordinairement cru qu’il fallait accepter, quel que soit l’épuisement. Là, on lui disait autre étape. On lui disait qu’il était temps. Temps de se replacer au centre. Temps d'alléguer non, même si cela déplaisait. Temps de se mettre à sa santé psychique, sa détente, la destinée. La consultation dura à contretype vingt-cinq minutes. Pas une seconde de trop. Mais elle bouleversa des attributs. Céline raccrocha, alluma une frite, et resta en vacarme. Ce qu’elle ressentait n’était pas du plaisir, mais un allègement. Elle venait d’avoir l’autorisation qu’elle n’attendait plus : celle de se pencher. Depuis, elle a posé des bornes. Pas de façon violente. Mais claire et nette. Elle a e-mail un mail à bien ses frères. Elle a demandé de l’aide. Elle n’a pas tout réglé. Mais elle ne s’est plus laissée remédier. Et n'importe quel fois que le ombre revient, elle pense à bien cette phrase : “Vous vous trouvez en train de partir d’un rôle. ” La voyance audiotel, pour elle, a été un déviation. Non pas un contact mystérieux. Mais une voix sérieuse, au agréable moment. Un ensemble d' informations qui lui a brevets de faire passer du sens là où tout était incertain.